jachère: n. f. État d’une terre labourable qu’on laisse temporairement reposer en ne lui faisant pas porter de récolte ; cette terre.
Le 26 février dernier, peut-être de manière prémonitoire, j’invitais les membres du Cercle des conteurs des Cantons de l’est, de la façon suivante:
« Je peux m’assurer de l’animation du Cercle de mars. Mais compte tenu de la semaine de relâche, qui prévoit y être?
En guise de thématique pour cette rencontre « relâchée », je propose: « Conte et énergie. Comment préserver ses forces de conteuse, de conteur, pendant une histoire, un spectacle, mais aussi une carrière? Quelle est l’importance de moments de pause, de silence, de jachère pour que la parole fuse ensuite, plus vivante? Comment équilibrer son sac de contes et son sac de vie? »
[Ahem… Tousse! Tousse! Atchoum!]
Le Regroupement du conte au Québec a proposé un concours d’écriture où l’on demandait de traiter de la fonction du Grand Méchant Loup dans les contes. La date limite pour y participer était le 30 janvier 2016. Je l’ai manqué, mais le sujet était trop beau pour que je ne tente pas d’écrire à ce propos. Dans les règlements du concours, on précisait: