Pourquoi les récits favorisent-ils l’apprentissage?

[Ahem…  Tousse!  Tousse!  Atchoum!]

Ouf!  Il y a de la poussière ici.  Et des toiles d’araignées…

Ça fait plus de deux ans que je n’ai pas mis les pieds virtuellement ici.  Normal que le temps fasse son oeuvre.  Je m’ennuies pas mal de ce blogue.  On y est bien.  Je crois bien que je vais y revenir plus souvent…

Bon, je continue à réfléchir… et à écrire… sur le conte.  Mais sur d’autres plateformes.

Par exemple, dans mon autre vie, je viens de commettre deux articles cet automne sur l’utilisation du conte en enseignement universitaire. Ça aura vraiment été une chance unique de réunir mes intérêts pour le conte et la pédagogie.

J’ai pensé que ça pourrait vous intéresser.

Dans le premier article, j’expose les raisons qui rendent l’intégration d’histoires intéressante pour les enseignants, ainsi que ce que les neurosciences nous apprennent des impacts des récits sur le cerveau humain.

Dans le second article, je me demande comment intégrer des récits à l’enseignement et je donne des exemples d’interventions auprès d’enseignants. Je montre qu’il y a néanmoins certains risques à le faire, en plus d’examiner ce qui distingue les discours scientifiques et narratifs. Je conclus sur la place des récits parmi d’autres stratégies pédagogiques.

À bientôt! (Ça devrait être dans moins de deux ans…)

4 réflexions sur « Pourquoi les récits favorisent-ils l’apprentissage? »

  1. Je reconnais là ta rigueur d’appuyer tes propos, bravo! Comme je t’en avais glissé un mot dans Facebook, je suis contente de voir qu’ils rejoignent les miens qui étaient surtout intuitifs et de terrain, comme CP depuis 16 ans, mais que je n’ai jamais le temps de « formaliser » et d’appuyer, trop prise par les 15 projets à coordonner en même temps. Si tu permets, je vais certainement partager avec mes collègues CP et profs…éventuellement! Et je pense qu’ils trouveraient écho dans une formation formelle de futurs enseignants du primaire à l’université! On espère que le projet « Rencontres paroles vivantes » du RCQ puisse permettre d’ouvrir les portes de ce côté, avec ce genre d’article appuyé d’études. Bravo encore!

  2. Super intéressant (je regrette juste d’avoir un niveau si faible en anglais) !
    C’est vrai que les meilleurs profs, ceux qui sont capables de passionner n’importe qui ou de faire adorer une matière détestée par exemple, sont aussi d’excellents conteurs… D’accord sur l’utilité de l’outil en évitant les abus (voir la théorie -fameuse entre toutes- du gâteau au chocolat) !
    Incroyables aussi les résultats des études neuroscientifiques: c’est super de pouvoir décortiquer les processus de ce qu’on a tous vu en spectacle (les gens qui se détendent ensemble, les enfants qui semblent ailleurs physiquement mais qui écoutent à 200%…).
    ‘vais me coucher plus savante ce soir: merci J-S !

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