Tenir conte… depuis un an

Mercredi dernier, 29 septembre, j’ai manqué la date anniversaire de ce blogue.  Je préparais le spectacle que j’ai donné au Musée des religions du monde de Nicolet le vendredi 1er octobre (et qui s’est bien passé, merci).  Tout à ma pratique, j’ai oublié qu’il y avait déjà un an que je sévissais à cette adresse Web.

C’est que les choses vont trop vite.  Un an et une cinquantaine de billets plus tard, le conte prend plus que jamais de la place dans ma vie déjà pourtant pas mal occupée par un autre travail et une famille…  J’ai la chance d’avoir monté un spectacle qui intéresse et qui est supporté par une bourse au niveau municipal, je suis plus intéressé et curieux que jamais de la littérature orale sous ses différentes formes.  Et les choses s’accélèrent: la 18e édition du Festival Les jours sont contés en Estrie la semaine prochaine, une formation avec Marc Aubaret du Centre Méditerranéen de Littérature Orale à la fin octobre sur l’histoire de cette littérature, le colloque du Regroupement du conte au Québec en novembre, d’autres spectacles en novembre (Drummondville en solo, St-Hyacinthe en duo) et décembre (Sherbrooke en solo, North Hatley en collectif)…  L’univers du conte vibre autour de moi et me fait vibrer alors que j’ai vraiment l’impression de faire partie de ce tout, à ma petite échelle.  De quoi écrire encore quelques billets…

Et pour cela je vous remercie chaleureusement, lecteurs de ce carnet, proches ou lointains.  Vous contribuez par vos clics et vos commentaires à faire que mes réflexions en ligne ne soient pas qu’une plongée solitaire dans le flou d’un miroir, mais qu’elles aient des échos, peut-être l’amorce de contacts, voire d’une communauté.

Parce que vous donnez encore davantage de sens à cette aventure.

2 réflexions sur « Tenir conte… depuis un an »

  1. Cher ami jean-Sébastien,

    Merci pour ton miroir, aucunement aux alouettes, mais aux idées nettes et à louer (du verbe Allélouyer). ça fuse et ça fume, ça tient chaud l’hiver et ça rafraîchit la tête l’été. On se sent l’envie d’en savoir plus et de devenir plus intelligent. On se sent fier de conter. on se sent l’envie de continuer sans douter.

    Ou en quelque sorte:

    « un conteur sachant conter doit savoir conter sans compter et repartir content pour cent ans »
    (Lao-Tsé-Tsé)

    (à moins qu’il ne s’agisse de Marcel Duplouënnec)

    Bref, merci pour tout. Et bon Bloguiversaire!

    Salutations sincères,
    xxx Alice

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